19 Mars, Saint Joseph, une célébration Valencienne

Le jour de Saint Joseph est un jour spécial dans toute l’Espagne, il est célébré le jour du Père. Mais surtout à Valence, c’est le jour le plus spécial des fallas.
Le 19 mars est célébré dans toute l’Espagne le jour de la Saint-Joseph, jour où tous les parents sont célébrés. A Valence, ce jour à une importance particulière, car c’est aussi, dans sa nuit, que se produit la mise à feu des fallas. Mais quel est le lien entre ces événements? Commençons par donner quelques explications concernant ce jour si spécial.
La date choisie pour le jour du père coïncide avec celle de saint Joseph, époux de la Vierge Marie et père de Jésus, pour la tradition catholique. Bien que cette évenement ait pris du temps à se développer dans le monde chrétien, aujourd’hui la fête des pères est célébrée à l’initiative d’une enseignante du quartier de Vallecas, Manuela Vicente Ferrero, qui l’a introduit à titre d’imitation de la fête des mères.
Pendant cette journée, les enfants font souvent des travaux manuels à l’école pour les donner à leurs parents. Cette fête est célébrée à des jours différents selon le coin du monde où nous nous trouvons. Par exemple, dans la plupart des pays européen, comme l’Angleterre ou la France, la date adoptée est le troisième dimanche de juin.
De plus, les personnes qui s’appellent Joseph, et qui célèbrent donc leur fête ce jour-là, sont aussi souvent appelées Pepe, parce que ce n’est pas Joseph, le père biologique de Jésus, dans les peintures et sculptures en son honneur, on y ajoutait p.p (père putatif).
Comme nous l’avons dit au début, à Valence, en dehors de la fête des pères, on célèbre aussi la traditionnelle “cremà". C’est la nuit la plus magique de toute la semaine Fallera, car c’est le moment de dire adieu aux fallas.
L’origine de cette « cremà » date de ce jour, il remonte aux anciens charpentiers de la ville qui, à la veille de la nuit de San José, son patron, allumaient, dans les rues et les places “parots”. Il s’agissait de lampes en bois qui éclairaient ses ateliers en hiver et qui, à la veille de cette nuit-là, lui ajoutaient un ensemble de produits inutiles, de bois et de chiffons pour faire plus de flamme. À l’origine à taille humaine, elles ont pris de la taille et de la hauteur au fil du temps, jusqu’à ressembler de plus en plus aux fallas que nous connaissons aujourd’hui.
Comme vous le voyez, le 19 mars est l’un des jours les plus importants de l’année. L’émotion, la magie et la beauté convergent dans la nuit la plus attendue de toute l’année, la « cremà ». Une journée qui vaut la peine d’être vécue pour voir brûler les sculptures et ressentir que la fin des fallas s’empare de la ville.
La date choisie pour le jour du père coïncide avec celle de saint Joseph, époux de la Vierge Marie et père de Jésus, pour la tradition catholique. Bien que cette évenement ait pris du temps à se développer dans le monde chrétien, aujourd’hui la fête des pères est célébrée à l’initiative d’une enseignante du quartier de Vallecas, Manuela Vicente Ferrero, qui l’a introduit à titre d’imitation de la fête des mères.










Pendant cette journée, les enfants font souvent des travaux manuels à l’école pour les donner à leurs parents. Cette fête est célébrée à des jours différents selon le coin du monde où nous nous trouvons. Par exemple, dans la plupart des pays européen, comme l’Angleterre ou la France, la date adoptée est le troisième dimanche de juin.
De plus, les personnes qui s’appellent Joseph, et qui célèbrent donc leur fête ce jour-là, sont aussi souvent appelées Pepe, parce que ce n’est pas Joseph, le père biologique de Jésus, dans les peintures et sculptures en son honneur, on y ajoutait p.p (père putatif).
Comme nous l’avons dit au début, à Valence, en dehors de la fête des pères, on célèbre aussi la traditionnelle “cremà". C’est la nuit la plus magique de toute la semaine Fallera, car c’est le moment de dire adieu aux fallas.










L’origine de cette « cremà » date de ce jour, il remonte aux anciens charpentiers de la ville qui, à la veille de la nuit de San José, son patron, allumaient, dans les rues et les places “parots”. Il s’agissait de lampes en bois qui éclairaient ses ateliers en hiver et qui, à la veille de cette nuit-là, lui ajoutaient un ensemble de produits inutiles, de bois et de chiffons pour faire plus de flamme. À l’origine à taille humaine, elles ont pris de la taille et de la hauteur au fil du temps, jusqu’à ressembler de plus en plus aux fallas que nous connaissons aujourd’hui.
Comme vous le voyez, le 19 mars est l’un des jours les plus importants de l’année. L’émotion, la magie et la beauté convergent dans la nuit la plus attendue de toute l’année, la « cremà ». Une journée qui vaut la peine d’être vécue pour voir brûler les sculptures et ressentir que la fin des fallas s’empare de la ville.